Stories
Serres Nemo à la clinique Beau Soleil de Montpellier
Pour pouvoir accéder à ce site, merci de confirmer que vous êtes un professionnel de santé en cochant la case ci-dessous.
Un professionnel de santé doit toujours se fier à son propre jugement et nous recommandons aux professionnels de santé de se former à l’utilisation de tout produit avant de l’utiliser dans le cadre d’une procédure ou d’une chirurgie.
Le personnel soignant de la clinique Beau Soleil de Montpellier en France utilise Serres Nemo pour améliorer la sécurité et l’efficacité des tâches quotidiennes de gestion et d’élimination des déchets liquides. Pour tout le personnel, l’intégration du nouvel équipement d’élimination des déchets liquides aux procédures est bienvenue. En effet, elle a permis de réduire la charge de travail et les risques liés à l’exposition aux déchets à risques infectieux.
« Si vous prenez en compte la réduction du poids et du risque d’exposition au sang, Serres Nemo est tout simplement plus pratique », déclare Lucie Chassary, aide-soignante.
Serres Nemo pour des procédures plus efficaces
Lucie Chassary et ses collègues Marcel Bella, infirmier, et Pauline Delavane, aide-soignante, gèrent au quotidien des centaines de litres de déchets liquides. Ils se réjouissent de la mise en place d’une solution qui leur permet de travailler plus efficacement et en toute sécurité.
Marcel Bella est satisfait de ne plus avoir à porter autant de déchets tous les jours.
« En toute honnêteté, Serres Nemo est d’une grande aide, car je devais porter de lourdes charges à éliminer. »
Pour lui, la réduction de la charge de travail est d’abord et avant tout un soulagement physique.
« Nous utilisons également beaucoup moins de poches d’aspiration qu’avant. »
En réalité, plus la quantité de liquides recueillis pendant une intervention est élevée, plus les avantages offerts par Serres Nemo sont grands en matière d’optimisation des procédures et de gestion des déchets à l’hôpital.
« Au cours d’une journée normale avec de nombreuses interventions chirurgicales, nous utilisons désormais 40 poches tout au plus », ajoute Pauline Delavane, aide-soignante. « C’est beaucoup moins que ce que nous utilisions dans le passé. »
